les différents profils d’utilisateurs de Facebook

Après les différents profils des Twittos, voici les 27 profils de personnes que l’on risque de croiser sur le réseau social Facebook.

Ce réseau social est beaucoup plus populaire que Twitter, ce qui fait qu’il est fréquenté par des personnes très diverses qui ont en commun de croire que le monde tourne autour de leur petite personne dont les moindres faits et gestes seraient absolument captivants.

C’est dans l’ensemble peu intéressant, ce qui fait que personnellement je ne fréquente pas Facebook, je n’y ai d’ailleurs aucun compte personnel, mais juste une page pour promouvoir les billets de ce blog.

À l’origine, sur Facebook, il s’agissait de mettre en ligne un annuaire sur lequel des personnes décrivaient leurs profils, leurs activités, leurs photos, leurs relations… Le voyeurisme et les commérages remontent donc à la création du réseau social. Et depuis lors, la situation s’est aggravée. La mise en pature de la vie privée de ses membres est le fonds de commerce de Facebook.

L’image humoristique ci-dessous tente de présenter les différents types de personnes qui peuplent Facebook.

Cela va de l’andouille qui passe son temps à inviter les autres à jouer à des jeux stupides, tels que planter des salades, les arroser, etc., jusqu’à l’imbécile heureux qui pollue les autres avec des photos ridicules qui illustrent à la perfection sa morne vie quotidienne.

On trouve aussi sur Facebook bon nombre de mythomanes qui imaginent leur vie plutôt que la vivre, des gens au cursus universitaire impressionnant, mais qui ne savent pas orthographier une phrase sans qu’elle soit truffée de fautes d’orthographe, des idiotes qui se prennent pour des stars de cinéma, des racailles de banlieue qui se vantent de leurs pitoyables exploits, des élèves en échec scolaire, des analphabètes, des complotistes de tout crin, tous ceux qui sont amoureux de leur petite personne, des oisifs en quête d’amitiés virtuelles…

Pour résumer mon point de vue, Facebook est une formidable perte de temps… Je ne comprends d’ailleurs pas ce qui a fait le succès d’une telle idiotie planétaire.