Faire des tirages de nombres de façon aléatoire n’est pas une mince affaire en informatique. La notion de hasard est très difficile à reproduire informatiquement parlant et les ordinateurs, qui ne sont que des machines au comportement déterminé ne sont à priori pas les mieux à même de réaliser cette tâche courante. Bien sûr, on peut les programmer pour faire des tirages de nombres pseudo aléatoires, mais les mécanismes qui reposent sur des algorithmes et des fonctions mathématiques ne donnent jamais des nombres comme s’ils étaient véritablement le fruit du pur hasard puisqu’ils sont les résultats d’un calcul prévisible.
La plupart du temps, ces nombres pseudo aléatoires sont suffisants, mais pour générer des séquences de nombres absolument aléatoires, il faut s’appuyer sur des phénomènes naturels qui ne sont pas purement mathématiques et par conséquent déterminés à l’avance.
C’est l’objectif de Random.org qui se propose de générer en ligne des nombres aléatoires en se basant non sur un calcul mathématique, mais sur le bruit de fond de l’atmosphère terrestre qui n’a rien de déterminé ni de prévisible.
La plupart des données fournies par le site sont gratuites, mais quelques modèles plus sophistiqués sont payants.
Random.org ne se cantonne pas de générer une simple suite de nombres tirés du hasard, le site peut aussi s’utiliser pour bien d’autres choses :
Ma Bimbo – Jeu virtuel de mode : Un jeu pour les filles ?
Ma Bimbo est un jeu en ligne qui se présente comme une simulation du monde de la mode et ses paillettes. Il s’agit manifestement d’un jeu pour les filles (à partir de sept ans), mais tous les goûts étant dans la nature, tout le monde a bien le droit de jouer à la poupée, quels que soient son sexe et son âge.
Le but du jeu est de s’occuper d’une bimbo virtuelle comme on le ferait avec un tamagotchi.
Après avoir créé son personnage virtuel en le personnalisant ou non à son image : choix de la chevelure, couleur de la peau, garde-robe et accessoires, etc., la joueuse ou le joueur pourra faire évoluer son avatar dans le monde de la mode. Le personnage peut s’acheter des fringues, aller chez le coiffeur, sortir en boîte, se faire des copines, se payer des séances de chirurgie esthétique, faire du sport pour perdre du poids avec l’espoir d’avoir un beau fessier bien ferme, acquérir un appartement, faire du cheval, draguer, trouver un petit ami, se nourrir en faisant attention à ne pas trop grossir et même avoir un véritable travail…
Plus de 100 missions permettent de progresser dans le jeu avec l’espoir de devenir la bimbo la plus célèbre et la plus riche de tous les temps. La bimbo évolue dans un monde complètement imaginaire, il lui est par exemple impossible de tomber enceinte et donc d’avoir des enfants à élever…
Un générateur de têtes de cons (comme au bureau), Gombi-noscope
Créer des visages aléatoires en mélangeant diverses parties d’autres visages de personnes bien réelles permet de réaliser de belles chimères surtout si les modèles de base sont suffisamment expressifs, voire un peu ridicules et légèrement grimaçants. C’est ce type de portrait-robot, hommes et femmes, que permet de réaliser le site Gombi-noscope, un générateur de têtes de cons plus vraies que nature. Le site est réalisé à l’aide de la technologie Flash. Chacun y reconnaîtra son petit chef de bureau, son voisin de palier, le commerçant du coin…
On peut élaborer les têtes de cons à la main, de manière automatique et aléatoire en cliquant sur le bouton Aleatoire et jouer ensuite sur quelques éléments anatomiques : la forme et l’aspect du visage, les yeux, le nez, et la bouche. On accède aux différents éléments du visage dans le menu en haut de la fenêtre. En dessous, on peut choisir le type d’élément anatomique à placer sur son portait en sélectionnant le prénom de la personne qui va contribuer à réaliser le visage imaginaire. 32 modèles masculins et féminins servent de modèles. Les possibilités en théorie sont assez importantes, mais sans doute pas suffisantes pour avoir des visages vraiment originaux. En effet, l’ensemble manque un peu de variété, il apparaît quand même que ce sont quelques modèles qui servent à fabriquer tous les autres en mélangeant les différentes parties d’un visage : forme, yeux, nez et bouche.
DocTranslator : Un service de traduction en ligne
DocTranslator est un service gratuit basé sur l’API de Google Traduction qui permet de traduire les documents, Word, PowerPoint, Excel ou simplement un fichier texte dans une autre langue.
Le système est basé sur Google Translate. DocTranslator peut traduire dans plus de 50 langues différentes (y compris les langues asiatiques) et fonctionne après l’installation d’un applet Java dans votre navigateur Web. Il s’agit bien entendu d’un système de traduction automatique qui produit des résultats acceptables sans plus, mais qui évidemment ne peuvent pas prétendre égaler les services d’un véritable traducteur professionnel.
Le premier des jeux vidéo – Pong
Le jeu de Pong est un des tout premiers jeux vidéo de l’histoire à avoir rencontré un succès auprès du grand public. Les règles du jeu s’inspirent de celles du tennis de table, le ping-pong. La première version date de 1967 puis a été améliorée en 1972 avant d’être popularisée par Atari sur une borne d’arcade.
Le jeu de Pong a été décliné sous de multiples formes et sur tous les ordinateurs et consoles de jeux. La version du jeu Pong décrite ici se joue dans un navigateur Web. Les éléments du jeu c’est-à-dire les raquettes et la balle ont été remplacés par des mini fenêtres.
C’est pour cette raison qu’il faut autoriser les fenêtres popup de son navigateur à s’afficher pour pouvoir faire une partie ; par défaut, ces fenêtres sont bloquées sur les navigateurs.
On joue soit contre l’ordinateur soit contre un adversaire humain. La raquette se contrôle à l’aide des touches du clavier. Le but du jeu est comme dans la version originale de renvoyer la balle avec l’objectif que son adversaire n’y parvienne pas en le mettant en difficulté.
Au fur et à mesure des échanges, la balle va de plus en plus vite. Les points marqués sont mentionnés sur la raquette de chacun des joueurs.
Origami – L’art du pliage en papier
L’origami est l’art de réaliser des pliages à l’aide d’une simple feuille de papier. L’activité remonte aux temps les plus anciens et était considérée en Chine comme un art populaire. De nos jours, il s’agit plutôt d’un loisir créatif permettant de s’occuper les jours pluvieux quand on se trouve bloqué à la maison avec des enfants à distraire. L’origami n’est cependant pas réservé aux plus jeunes. L’avion en papier, le bateau, la cocote en papier, la bombe à eau, le Shadock… grands classiques du genre ne sont pas les seuls modèles possibles.
Tous les objets, plantes et animaux peuvent être déclinés et réalisés en papier du moment que l’on connaît la marche à suivre pour réaliser le pliage. Des modèles très complexes peuvent être fabriqués demandant à la fois de la patience et de la dextérité : dinosaure, tour Eiffel, etc., exigeant parfois plusieurs heures de travail. En principe, on utilise en général une feuille de papier carrée qui ne sera pas découpée pour réaliser le pliage.
Sur Origami.org, on trouve quelques explications et illustrations en vidéo pour réaliser facilement quelques modèles d’origamis : l’oiseau qui bat des ailes, un crâne, une chemise… Les explications sont données étape par étape et montrent ce qu’il faut reproduire avec sa feuille de papier pour parvenir au même résultat que sur le modèle. Les modèles fournis ne sont pas très nombreux, mais suffisent pour s’initier à cet art ancestral.
Champion du monde de Vuvuzela
La vuvuzela est un instrument de « musique » en forme de corne très bruyante qui permet de se faire remarquer très facilement en manifestant sa joie et sa bonne humeur en toute circonstance. L’engin d’origine zoulou est principalement en vogue en Afrique du Sud où il a été popularisé et connu du monde entier à l’occasion de la Coupe du monde de football qui y a été organisée en 2010. Depuis l’instrument est utilisé un peu partout sur la planète dès qu’il s’agit de manifester de façon bruyante et pas très discrète ou lors d’évènements sportifs ou quand il s’agit de déstabiliser un adversaire ou une personne que l’on n’apprécie que moyennement.
Dernièrement, les vuvuzelas ont de nouveau fait la une de l’actualité mondiale à l’occasion des obsèques de Nelson Mandela pour célébrer dignement et avec fracas la vie du grand homme, véritable icône et héros national en Afrique du Sud.
La vuvuzela émet un son extrêmement puissant et strident, qui sonne de façon quasi infinie, à la longue très énervant mettant rapidement les nerfs en pelote pour ceux qui le subissent, car le brouhaha est très vite insupportable. Différents modèles de tailles et de coloris variés sont en circulation.
Evolution de Steve Jobs
De 1998 à 2010, on peut dire que le look de Steve Jobs a considérablement évolué. On passe du jeune homme passionné (le terme geek n’était pas encore employé du temps de la jeunesse de Steve Jobs) à l’homme d’âge mûr charismatique et sûr de lui, à la tête d’une des premières sociétés mondiales, qui a enfin réussi à faire valoir ses vues au sein d’Apple.
On lui doit notamment la création du premier ordinateur Apple, l’Apple 1 vendu à l’époque en kit à monter soi-même dans une boîte à chaussures puis son évolution en Apple II sur lesquels tout jeune j’ai fait mes premiers programmes en Basic et en assembleur. C’était bien avant les Macintosh et autres iPhone et iPad qui ont fait la fortune de la multinationale américaine qu’est devenue Apple en quelques années.
Steve Jobs restera célèbre après sa disparition prématurée pour avoir d’une part contribué avec Steve Wozniak (qu’il ne faut pas oublier) à la création de l’entreprise Apple chez ses parents adoptifs, dans le garage familial, mais surtout on lui doit l’avènement de l’informatique familiale avec le micro ordinateur personnel (Personal Computer : PC) à utiliser chez soi, sans dépendre d’informaticiens professionnels pour les faire fonctionner, au début essentiellement pour se divertir et apprendre à programmer ou en entreprise pour faire sa comptabilité, sa gestion, etc.