Google maître du monde

Partie de rien, la multinationale Google domine Internet via de multiples activités dans la sphère informatique. Les fondateurs de la firme sont désormais milliardaires.

La principale d’entre elles consiste à vendre des espaces publicitaires en profitant de son moteur de recherche pour promouvoir ses publicités.

La publicité est le vrai métier de Google. Le reste n’est qu’un moyen de l’afficher partout où c’est possible pour remplir son tiroir-caisse déjà bien garni : écrans des ordinateurs, smartphones, télévisions, montres, lunettes…

La firme est présente dans tous les domaines, même les plus improbables, car on ne sait jamais, ce qui semble aujourd’hui farfelu peut se révéler hautement rémunérateur dans quelques années : voitures autonomes, lunettes connectées, casques de réalité virtuelle, implants biologiques, ballons-sondes, intelligence humaine augmentée par une intelligence artificielle connectée au cerveau humain…

D’ailleurs les échecs ne sont pas rares. Tout ne réussit pas à l’ogre Google, loin de là. Pour ma part, je regrette surtout Google Reader. À terme quand Google+ disparaîtra, j’aurai aussi un petit pincement au cœur.

Google a surtout les moyens d’engager les meilleurs cerveaux de la planète pour notamment faire de son moteur de recherche la référence en la matière. La multinationale peut se permettre d’explorer n’importe quel chantier, de financer n’importe quel projet, les coûts importent peu, du moment que ça peut rapporter gros.

J’en profite pour envoyer un petit message : les appentis sorciers, ceux qui sévissent dans le SEO, qui prétendent pouvoir rivaliser avec toute cette intelligence grâce à de petites astuces à deux balles, me font toujours bien rigoler.

Décidément rien n’arrête Google dans son projet de domination mondiale… Hors de question pour que la moindre petite activité lui échappe.

google-surf-shop

Cette boutique de surf, soi-disant tenue par Google, est une fine allusion à la navigation sur Internet, qu’à une certaine époque, celle de Thierry Lhermitte et de ses formations bas de gamme pour neuneus, on qualifiait le plus souvent avec le verbe surfer.

Cela rappelle le fait de passer de vague en vague, comme le ferait un surfeur de Californie ou d’ailleurs. Par analogie, on passe de site en site en cliquant sur des liens hypertextes.

En fait non c’est une erreur, Larry Page vient de me contacter pour me dire qu’il a fait une petite boulette stratégique dans le développement de Google. Il n’est plus question de monter des boutiques de matériel de surf.

Larry s’est emmêlé les pinceaux… On le pardonne il débute à ce poste !

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