Quel avenir pour les tablettes

Les tablettes connaissent un grand succès commercial depuis qu’Apple a popularisé ses différents modèles d’iPad.

Dans la foulée, la grande majorité des constructeurs informatiques se sont lancés avec plus ou moins de succès sur ce marché porteur. On trouve des tablettes puissantes pour quelques centaines d’euros.

Pour la plupart des personnes, une tablette tactile remplace avantageusement un ordinateur familial beaucoup plus couteux pour peu que leurs besoins numériques restent basiques : consultation de sites Web, achats en ligne, lecture des sites d’informations ou encore de livres électroniques…

Pour ces usages, une tablette est largement suffisante et surtout beaucoup moins contraignante à manipuler qu’un ordinateur plus complexe.

L’appareil est séduisant dans la mesure où il offre un écran suffisant grand par rapport à un smartphone sur lequel on lit en s’esquintant les yeux et que sa connectivité Wi-Fi lui permet d’accéder à Internet sans avoir un fil à la patte et un poids trop lourd à porter.

Hélas, aux toilettes, en cas de pénurie de papier, la tablette ne replacera jamais un bon journal tout en papier, qui même s’il n’est pas très doux au toucher, va se substituer en cas de besoin au bon vieux rouleau de papier hygiénique qui ne devrait jamais manquer dans ces lieux très fréquentés.

C’est moins pratique, c’est certain. Mais à quoi peuvent bien servir les tablettes ? Encore une preuve qu’elles ne remplaceront pas partout le papier ; le malheureux Jean-René en fait sur cette illustration amusante la pénible expérience.

Sa belle tablette Apple ne lui servira à rien du tout pour se sortir du mauvais pas dans lequel il se trouve. À moins qu’une commande suivie d’une livraison expresse par sous-marin miniature ne vienne le fournir séance tenante…

Moralité : avant d’aller aux toilettes, il faut toujours vérifier qu’un rouleau de papier hygiénique est bien à sa place. Cette petite précaution vaut mieux qu’un gros désagrément.