Il est un peu malvenu de comparer une dictature avec un système d’exploitation. Pourtant, pour bénéficier de nouveautés ou d’un renouveau, dans les deux cas de figure, un grand coup de balai s’impose de temps en temps.
Il faut alors faire du neuf en repartant sur des bases saines. Se débarrasser des scories qui font obstacle aux changements salutaires est toujours bénéfique pour évoluer vers le meilleur.
Les vieux schnocks au pouvoir depuis la nuit des temps freinent toujours des deux pieds alors que les jeunes sont toujours enthousiastes dès qu’il s’agit de renverser l’ordre établi. Il faut dire que ce dernier s’exerce toujours à leur détriment.
Évidemment, des réticences au vent de fraicheur s’expriment, mais au bout du compte, tout le monde doit être gagnant. Redistribuer les cartes est toujours une bonne chose.
Le processus de changement prend du temps et rien ne vient garantir le bon fonctionnement du système politique ou du système d’exploitation quand la mise à jour arrive au bout.
Tout peut planter à un moment ou à un autre. Dans ce cas, c’est marche arrière toute afin de revenir à l’état précédent qui certes n’était pas la panacée, mais qui avait le mérite de fonctionner avec ses imperfections.
Il y a quelques jours vous pouviez voir cette image. Un gros obstacle freinait pour la mise en place d’un système moderne en Égypte. Les dictateurs ont tendance à s’accrocher aux branches.
Bonne nouvelle un important upgrade matériel a enfin eu lieu hier en Égypte.
La mise en service risque d’être longue et reste maintenant à faire adopter le changement à tous les utilisateurs.
Malheureusement, le peuple n’était pas prêt pour le grand bouleversement. Les militaires en Égypte ont repris la main et maté la rébellion.
Ce ne sont quand même pas les gueux qui vont faire la loi.
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