Envoyer des messages au quotidien depuis un smartphone

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Les SMS ne sont pas prévus pour faire de longs discours, mais comme l’acronyme anglo-saxon l’indique clairement (Short Message Service) pour envoyer depuis son téléphone portable de courts messages (160 caractères au maximum) à des contacts. Bien souvent ces textos sont envoyés au quotidien de façon répétitive pour indiquer à ses proches que l’on est bien arrivé à tel endroit, qu’on est en route, pour leur rappeler qu’on pense bien à eux, pour faire savoir à ses collègues qu’il est l’heure de la pause café, pour signaler à ses enfants qu’il est temps de passer à table, etc.
Woy ! est une application gratuite pour smartphones (pour Android et iOS) qui a été prévue pour faciliter l’envoi des petits messages du quotidien que l’on va écrire à l’avance et envoyer à des contacts d’un simple clic sur l’écran. S’il s’agit de messages répétitifs du genre « T’es où ? », le côté pratique de Woy ! saute immédiatement aux yeux, car cela évite de taper sans arrêt la même chose ce qui au bout d’un moment s’avère fastidieux.
L’interface très colorée de l’application est en Français et se prend en main en quelques secondes.

Un générateur de logos à la mode hipster

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Le terme hipster désigne un phénomène de mode qui qualifie un style de vie soi-disant branchée où les victimes croient se démarquer du reste de la société en adoptant des looks particuliers (port de la barbe, tatouages, vêtements de certaines marques…) et en adoptant des comportements qui se veulent en décalage avec les normes en vigueur. Le résultat est à mes yeux tout à fait ridicule. Il s’agit ni plus de moins que de marketing ciblé pour complaire à une poignée de riches bobos en manque de personnalité.
L’outil en ligne Hipster logo generator se qualifiant lui-même pour je ne sais quelle raison de hipster (surement pour faire plus moderne) est néanmoins très bien conçu et permettra de fabriquer un logo basique en quelques clics de souris. L’application s’utilise sans inscription. Une fois le logo terminé, la version gratuite permet de le télécharger au format PNG dans une résolution de 600 x 500 qui est suffisante dans la plupart des cas. Pour les résolutions supérieures, il faudra passer à la caisse : $5.00 pour une résolution de 2400 x 2000 aux formats PNG ou SVG.

Un générateur de fonds dégradés en CSS

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Le langage CSS (Cascading Style Sheets, en Français Feuilles de style en cascade) est un langage pour ajouter des mises en forme et des mises en page aux documents HTML qui en principe ne contiennent que les contenus d’un site Web. Cette dissociation sépare le fond de la forme tout en facilitant la mise à jour des sites. Les propriétés CSS autorisent bon nombre d’effets typographiques et de couleurs et avec sa dernière version intègre les dégradés de couleurs applicables aux divers éléments HTML.
L’application en ligne CSS Gradient Animator facilite la création de fonds de page, animés ou pas, se basant sur le dégradé obtenu entre deux ou plusieurs couleurs pour produire un code CSS récupérable par une simple opération de copier-coller.
L’utilisation de l’outil ne demande pas de connaissances particulières en CSS puisqu’il suffit d’ajuster quelques paramètres pour obtenir le fond de page dégradé : Gradient Angle et Scroll Angle pour choisir les angles de l’orientation des couleurs du dégradé. Ces dernières doivent au moins être au nombre de deux que l’on va ajouter tour à tour en cliquant sur le bouton Add colour. A priori, le générateur ne limite pas le nombre de couleurs qu’il est possible de prendre en compte pour construire le dégradé sur le fond de page.

Grammaire interactive de la langue française

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Le site Reverso est surtout connu pour ses outils de traductions en ligne qui constituent une excellente alternative à Google Traduction. Il propose aussi d’effectuer des traductions en contexte ce qui permet de traduire des mots et des expressions idiomatiques, c’est-à-dire propres à une langue et difficilement transposables telle quelle dans une autre.

Comment désactiver les mises à jour automatiques de Chrome

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Chrome le navigateur Web de Google, même si certains lui reprochent à juste titre de servir avant tout les intérêts de la multinationale américaine (analyse des données de navigation de ses utilisateurs, ciblage publicitaire, exploitation de la vie privée à des fins marketing…) est une incontestable réussite technique. En quelques années, le navigateur s’est hissé au tout premier rang obligeant ses concurrents (comme Firefox et Internet Explorer) à revoir leur plan d’évolution. Car le navigateur de Google a de quoi séduire en raison notamment de sa vélocité, de la prise en charge des standards modernes du développement Web, du nombre impressionnant d’applications, d’extensions et de thèmes présents dans le Chrome Web Store et surtout de la fréquence des mises à jour qui sortent à un rythme effréné pour y ajouter de nouvelles fonctionnalités et corriger les dysfonctionnements ou les failles de sécurité.
Le processus de mise à jour du navigateur est fait automatiquement par Chrome sans qu’il soit nécessaire de vérifier l’existence d’une nouvelle version à télécharger puis à installer. Tout se passe en tâche de fond sans intervention de l’utilisateur.
Pourtant, dans certaines circonstances, on devrait pouvoir avoir le choix de ne pas effectuer automatiquement ces nombreuses mises à jour du navigateur, essentiellement pour ne pas voir ses petites habitudes bouleversées ou pour pouvoir tester sur un autre ordinateur une nouvelle version de Chrome pour s’assurer qu’elle fonctionne avec des extensions particulières ou si certaines options utiles n’ont pas été supprimées par Google.

Agrandir les images dans Chrome, Imagus

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Je trouve toujours un peu pénible de devoir cliquer sur une image pour l’agrandir quand sur certaines pages Web elles sont représentées par des miniatures vraiment minuscules. Cela aboutit généralement à l’ouverture d’un nouvel onglet sur le navigateur et à une perte de temps, car il faut sans cesse cliquer sur la vignette d’une image puis revenir en arrière et faire de même pour les autres pour voir en taille réelle toutes celles qui constituent un album. Avec l’extension pour Chrome Imagus, on va s’éviter ce fastidieux va-et-vient pour zoomer sur les images de façon automatique au moment de leur survol à la souris.
L’extension a une interface Web et surtout une importante page de paramétrage en Français qui prévoit une pléthore d’options. Il n’est pas forcément utile d’expérimenter tous ces réglages, car ceux qui sont définis par défaut après l’installation de l’extension se suffisent à eux-mêmes et améliorent grandement le confort de lecture sur toutes les pages Web présentant des images ou des illustrations. Un liseré en pointillés rouges est affiché autour des images qui peuvent être agrandies. Pour que l’effet de zoom s’enclenche automatiquement, il suffit de laisser le curseur de souris sur l’image en question et de patienter quelques millisecondes.

Figaro ou Gorafi, le jeu

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Le Gorafi est un pastiche du très sérieux journal Le Figaro qui publie sur son site Web des informations complètement fausses voire délirantes, mais rédigées avec le plus grand sérieux. La conséquence c’est que de très nombreuses personnes prennent ces articles humoristiques pour argent comptant sans qu’aucun esprit critique ne vienne titiller ce qu’ils sont en train de lire. D’ailleurs, la « team premier degré » s’en donne à cœur joie dans les commentaires (des deux journaux) et il n’est pas rare que des personnalités ou d’autres médias reprennent les « informations » ironiques du Gorafi, sans le moindre recul et sans effectuer la moindre vérification journalistique.
Il faut reconnaître quand même que les titres du Gorafi sont trompeurs, ils sont rédigés pour être crédibles et que parfois ceux du Figaro peuvent aussi laisser sceptiques par leur absurdité les lecteurs les plus exigeants.
Comme il est plus facile de se moquer de l’ignorance crasse d’autrui que de la sienne, sur le site Figaro ou Gorafi ?, on a la possibilité de se tester pour voir si on est capable de faire la différence entre des informations véritables publiées par Le Figaro ou s’il s’agit d’une facétie du Gorafi. Les journalistes qui recopient sans réfléchir les informations glanées sur le Net pourront aussi se livrer à ce petit jeu pour voir s’ils sont toujours aptes à détenir une carte de presse ou s’ils doivent retourner à l’école de journalisme.

Jouer gratuitement à Theme Hospital

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Theme Hospital fait partie de ces jeux classiques auquel je pense avec beaucoup de nostalgie tant il m’a laissé d’excellents souvenirs. Il s’agit d’une simulation délirante d’un hôpital développée par Bullfrog et édité par la société Electronic Arts en mars 1997. Ce sont surtout les maladies qui sont loufoques dans Theme Hospital : hyperlangue, invisibilité, syndrome d’Elvis Presley… Ces malades doivent bien entendu être pris en charge par des médecins généralistes ou spécialistes (psychiatres, chercheurs, chirurgiens…), des infirmières et des réceptionnistes. L’objectif étant qu’ils dépensent un maximum d’argent en consultations et examens variés et en leur faisant consommer beaucoup de boisons gazeuses aux distributeurs automatiques. L’entretien des locaux et du matériel médical est assuré par des agents d’entretien. Le chaos s’installe rapidement dans l’hôpital, car l’afflux des malades, les situations d’urgence, les locaux à aménager, le nettoyage, les infestions de rats, les visites d’inspection des pontes, l’équilibre financier à atteindre, les tarifs à fixer, la concurrence des autres hôpitaux, les recherches à mener pour découvrir de nouveaux traitements, le recrutement des spécialistes, les revendications salariales des uns et des autres, le taux de mortalité des patients, le taux de satisfaction des malades, les objectifs à atteindre, etc. sont autant de facteurs à prendre en compte pour passer au niveau suivant, c’est-à-dire se voir confier la gestion d’un hôpital d’une taille plus importante. On ne s’ennuie vraiment pas une seconde à jouer à Theme Hospital.